jeudi 26 juin 2008

Les Barbares !

Pour soigner la Sécu, ils saignent les malades
C'est plus de 8 millions de personnes qui seraient concernées par cette mesure commandée par le Gouvernement.

AFP - Mardi 24 juin, 10h16

- Le directeur de l'Assurance maladie Frédéric van Roekeghem juge nécessaire un nouveau plan de redressement de 3 milliards d'euros à partir de 2009, selon le quotidien Les Echos paru mardi, qui passerait notamment par une réduction du taux de prise en charge de certains médicaments des patients souffrant d'affections longue durée (ALD).

Certains d'entre eux ne seraient remboursés qu'à 35% au lieu de 100% actuellement. Huit millions de personnes sont atteintes en France d'une ALD.
Les prescriptions des professionnels de santé seraient également plus étroitement contrôlées et les tarifs réduits, selon les propositions de l'Assurance maladie.
Les décisions relèvent toutefois du gouvernement et du parlement, notamment à travers les lois de financement de la sécurité sociale. "Plus les mesures seront mises en oeuvre vite, plus le retour à l'équilibre sera conforté", déclare M. van Roekeghem aux Echos.
Il n'y aucune remise en cause du remboursement à 100% des affections longue durée" (ALD), a assuré mardi matin sur France Culture le ministre du Budget et des Comptes publics Eric Woerth.
Selon le quotidien, le plan permettrait de réduire le déficit de la branche maladie à 2,8 milliards d'euros en 2009, puis à 1,4 milliards en 2010 avant un retour à l'équilibre en 2011.
La Commission des comptes de la Sécurité sociale (CCSS) a annoncé mercredi dernier un déficit prévisionnel de 8,9 milliards d'euros pour 2008 pour l'ensemble de la "sécu" (maladie et retraites notamment), avec un déficit de l'Assurance maladie en léger recul à 4,1 milliards d'euros.
Le ministre du budget Eric Woerth a promis d'"amplifier l'effort de redressement" des comptes de la Sécurité sociale, avec un objectif d'équilibre pour 2011

mardi 24 juin 2008

A propos du congrès, ...

Il vient trois rendez-vous :

  • ce mardi (24 juin), à la fédé : retransmission du débat nationnal de Tour avec pour thème "Le PCF, quelle transformation au service de notre engagement émencipateur" suivie d'une discussion. C'est à partir de 19h.
  • ce mercredi, au local de la XRousse (rue des Pierres Plantées), rencontre de travail sur le libre accès aux transports à partir des débats et rencontres d'avril et mai et du travail de Pascal. C'est à partir de 20h.
  • le dimanche 29 juin, notre traditionnel repas de cellule, toujours dans notre local XRoussien ( midi, tarifs : de 12 à 6 euros ) / réservation au O6 32 62 18 56

mercredi 18 juin 2008

C'est la fête de la musique ;-)

L'association Tiens Bon La Pente propose pour ce samedi 21, place COLBERT


faîtes de la musique
partout dans le monde et surtout place COLBERT
Au programme:
La batucada BANDANA
SAMA KUNDA (djembé+ chant)
GAGOU (punk rock français)
LES FANTASTIQUES (rock français glamour)
LES FIRE BABOUCHES (ya Djé La Bas)

A partir de 18h00, place COLBERT (sur les Pentes !)

Il durait, ...



Comme il savait que vivre perpétue, il durait !
Et ses besoins obscurs engendraient la clarté.

P.Eluard

lundi 16 juin 2008

Mardi, c'est manif

La CGT Défends tes droits - Syndique toi !
Pour la retraite solidaire et contre la déréglementation du temps de travail !
Actions et manifestations le 17 juin (10h30, à Manu des Tabacs) !

Le 17 juin, nous appelons les salariés des entreprises privées et des établissements publics à participer à une journée nationale d’action unitaire avec manifestations et arrêts de travail pour soutenir deux grandes revendications vis-à-vis du gouvernement et du patronat :
• la défense du système des retraites ;
• l’opposition au projet de déréglementation de la législation sur le temps de travail qui remet en cause les 35 heures.
Garantir l’avenir des retraites fondées sur la solidarité entre les générations.
Les réformes Balladur de 1993 et Fillon de 2003 ont déjà considérablement dégradé les niveaux des pensions perçues par les salariés partis en retraite. Le gouvernement est resté sourd au lendemain des manifestations unitaires du 22 mai.
Pas question d’ouvrir la moindre négociation sur le sujet : « les choix de 1993, 2003 et 2007 sont confirmés ». Cela conduirait à aggraver encore les situations des retraités dans les prochaines années puisque est programmée une baisse relative des pensions d’un tiers !
L’allongement à 41 ans du nombre d’années de travail pour obtenir une retraite à taux plein est inacceptable : avec une entrée plus tardive sur le marché du travail, des carrières précaires et des licenciements avant 60 ans, les réformes visent à empêcher les salariés de bénéficier des retraites à taux plein et à diminuer le pouvoir d’achat des retraités.
Pour répondre véritablement au « vieillissement » de la population, garantissant le pouvoir d’achat des retraités, il faut obtenir de nouveaux financements, mettant notamment à contribution les profits financiers qui ne cessent de croître.
S’opposer à la déréglementation du temps de travail
Le gouvernement a annoncé l’intention d’ajouter une deuxième partie au projet de loi reprenant la position commune, négociée entre les syndicats et le patronat, reconnaissant que la représentativité des syndicats doit reposer sur le vote des salariés dans les entreprises.
Cette deuxième partie n’a rien à voir avec ce besoin de démocratie sociale. Le projet vise à supprimer ou modifier près de 70 articles du code du travail concernant l’organisation du temps de travail dans les entreprises !
Il aurait pour conséquence d’allonger la durée effective de travail de millions de salariés, de réduire le paiement des heures supplémentaires et d’accroître encore la flexibilité des horaires !
Travailler toujours plus, plus longtemps pour ne rien gagner sinon une santé et une qualité de vie de plus en plus précarisées, ça suffit !
Après les mobilisations du 22 mai, participons encore plus nombreux à la journée de manifestations et d’arrêts de travail du 17 juin !

Wir sind alle Iren !

de Syola

Et pourtant, ils avaient tout calculé pour que le NON soit impossible et le hold-up parfait : mépriser les NON hollandais et français, retricoter en vitesse le même traité, passer accord entre eux pour ne pas consulter les Peuples…et patatras !
Un petit peuple rebelle, presque « breton », le seul à ne pas pouvoir être muselé, l’Irlande a dit NON.
On leur avait pourtant bien expliqué que le mot référendum ne voulait rien dire, que le NON ne pouvait être que anti-européen, stupide, dangereux … bref, impensable !
Et ils ont pensé l’impensable : c’est NON.
Bien sûr, le nouveau patron du nouveau traité, s’autorisant d’une élection à 53% pour tout se permettre (ex : contourner le Conseil Constitutionnel, forcer la main aux juges, se croire propriétaire de tout dans la République et bientôt dans l‘Europe parce qu’on lui a confié une fonction provisoire), celui-là vous expliquera que les 53,4% du NON irlandais sont ridicules ; qu’on ne se laissera pas bloquer par 0,9% de la population européenne, même si on a privé de parole, par voie autoritaire, les 99,1% des citoyens européens.

On va assister, à nouveau, à un concours du ridicule qui va pousser les politiques aux médias pour, après nous avoir expliqué pourquoi il fallait absolument voter OUI, nous expliquer à présent pourquoi, nous, nous avons voté NON.
Plus ridicule, tu meurs ! Mais, attention, ils peuvent faire pire impunément si nous les laissons faire.
Au fait, expliquez, s’il vous plaît :
Que veut dire ce qui est devenu, en ce cas, un oxymore, « la démocratie représentative ? », représentative de qui ?

dimanche 15 juin 2008

Pour un PCF, communiste? REJOINS-NOUS !


Je prends mes désirs pour la réalité, car je crois en la réalité de mes désirs

vendredi 13 juin 2008

Le peuple a parlé !


AFP (Dublin)- 15h 39
- Les Irlandais ont dit "non" au traité européen de Lisbonne, selon les premières projections de la radio-télévision publique RTE, tandis que certains ministres concédaient déjà à mots couverts la défaite du "oui", qui devrait plonger l'Europe dans une nouvelle crise.
"Il semble certain que les électeurs irlandais ont rejeté le traité de Lisbonne", estime la RTE. Le "oui" n'a de chances de l'emporter que dans six des 43 circonscriptions, ajoute l'organisme public.
"Il semble que ce soit un non", a confirmé le ministre irlandais de la Justice Dermot Ahern, lors d'une interview à RTE. "Il est très clair qu'il y a un vote non très important", a-t-il poursuivi.
Le "non" s'est imposé dans les six premières circonscriptions dont les résultats officiels ont été publiés en milieu de journée.
Selon le site officiel consacré au référendum, le "non" obtenait 53,5% des voix contre 46,5% pour le "oui" après le dépouillement de 15,11% des suffrages. Les chiffres définitifs n'étaient connus en milieu de journée que pour 12 des 43 circonscriptions: dix d'entre elles ont rejeté le traité, parfois à plus de 54%.
"D'après ce que j'entends, ça se ne présente pas bien" pour le camp du "oui", a déclaré à l'AFP le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes Dick Roche, alors que les résultats définitifs sont prévus en fin d'après-midi.
"Il me semble que le traité a été rejeté", a déclaré Mary Lou McDonald, responsable de la campagne pour le parti nationaliste Sinn Féin, seule formation parlementaire à voter "non". "Je serais très satisfaite" (en cas de victoire du "non"), a-t-elle ajouté sur RTE.

Hommage à Georges Lyvet

Cette année, l'hommage rendu à Georges Lyvet et ses compagnons torturés et abattus par la Gestapo à l'hôpital de la Croix-Rousse, aura lieu le :

Vendredi 13 juin, à partir de 17h

Nous nous réunirons devant la plaque commémorative située à l'entrée de l'hôpital au 93 Grande rue de la Croix-Rousse Lyon 4ème

ANACR, comité Marcel Bertone, Lyon 1er&4ème

jeudi 12 juin 2008

Eireann go braugh !

The Lisbon treaty is bad, and only bad, for all of us, workers, sick personns, old people, disabled, children, unemployed and so on.
It’s bad for Ireland, it’s bad for France ,it’s bad for every european country.
Many governments ( far too numerous, unfortunately) have STOLEN the choice of their people, by deciding not to organize a referendum.
You, Irish men, Irish women, are our last chance to stop all that. Your people can be the voice of all the people.
If you say no it is also a strong signal that we do not want this Europe.
PLEASE, VOTE NO for all the voices in Europe which desired to say it but were empeached to do so by illegitimate politicians.
THANK YOU
LL

mercredi 11 juin 2008

Jeudi formation ...

Il faut rappeler qu’un débat - dont le thème :
« Mieux comprendre le monde aujourd’hui pour le transformer » - est prévu à la fédération du PCF :
Jeudi 12 juin prochain, à 19 H 00
1, Cours Albert Thomas – Lyon 3ème
M° ligne D – Sans Souci
Ce débat sera animé par Jacques Fath, responsable PCF aux relations internationales.

Merci de faire connaître cette soirée autour de vous.

samedi 7 juin 2008

Métaphore pédestre

J’aime randonner, ingambe j’avais du mal à trouver un compagnon, du coup c’est seul que j’arpentais le chemin, souvent le même d’ailleurs !
Un jour pourtant, calmant mes ardeurs j’acceptais une compagnie.
Aucun calcul la dessous, j’avais rencontré Sô quelque temps avant, nous avions partagé sur le plaisir de la marche, et voilà l’aurore aux doigts de roses et nous, ... face à la montagne !

Un début difficile, nous marchions trop lentement et pire, ils nous arrivait de faire halte.
Mais j’appréciais notre silence et finalement les pierres ou fleurs bizarres qui motivaient ces arrêts avaient tout de même quelques intérêts.
Je ne connaissais rien de la route, et je n’avais emporté que de l’eau !
Vers 11h, nous fîmes un repas à pique-nique.

Nous avions repris le chemin depuis une ou deux heures avec toujours la même petite allure mais cela ne me gênait plus du tout, la pente redevenait raide, et … Sô était passée en tête.
Nous arrivâmes au bord du lac pour la fin de l’après-midi et j’essayais de ne rien montrer de mon arasement.
Je reprenais mon souffle quand je surpris une lumière dans son regard !
« Tu es un bon marcheur, le retour sera plus rapide, mais partons la nuit peut nous surprendre ».

jeudi 5 juin 2008

Eireann go braugh !



A une semaine du référendum irlandais sur le traité de Lisbonne, le camp du non est pour la première fois donné en tête des intentions de vote par un sondage que publie l'Irish Times.

C'est Le premier sondage annonçant le "Non" victorieux.
Le référendum est prévu pour ce jeudi 12 juin !

SI cela se concrétise alors, la machine infernale auquel a participé l'immense majorité des parlementaires "socialistes" et du parti "Les Verts" s'enraillera définitivement.
Un petit rappel, nous avons sur Lyon deux députés du parti "socialiste", Pierre Alain Muet qui n'a jamais osé dire avant le 4 février dans quel sens ira "son" vote et jl Touraine qui suprême coquetterie avait réussit à faire croire qu'il était opposé au déni du peuple.
Tout deux se seront finalement "abstenus" !

Francisco Sépulvéda


J'ai déjà exprimé ici tout le bien que j'éprouve pour Francisco.

Il expose sur le 1er ardt, jusqu'au 27 juin, à la galerie ArtScénik, 13 rue des Sans-culottes - actuelle rue des Capucins.

Le vernissage est prévu ce soir à partir de 19h alors, ... il faut s'y précipiter.

Belle visite ...

Code du travail, conférence !

CODE du TRAVAIL « RECODIFIE », SALARIES en DANGER
jeudi 5 juin 2008 à 20h30
Maison des Passages ,LYON 5è 44 , rue saint Georges
(métro D/ Vieux-Lyon ou parking sur le quai )

Gérard Filoche est inspecteur du travail, militant syndical et politique, rédacteur de la revue Démocratie et Socialisme, auteur de nombreux ouvrages ( La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi pas le travail ?
Ed. JC Gawsewitch, 2006 et de Mai 68, histoire sans fin, même éditeur, 2007. ).
Il a écrit dans LE MONDE DIPLOMATIQUE de Mars 2008 l’article Tornade patronale sur le code du travail.« Singulière façon d’honorer la fête des travailleurs : le 1er mai 2008 est entré en vigueur un code du travail revu et corrigé.
Officiellement, il s’agissait de recodifier « à droits constants » un texte réputé complexe et difficile aux usagers.
En réalité, les droits des salariés sont réduits, les statuts éclatés, les protections du contrat de travail amenuisées.
De plus, le nouveau texte transfère au seul pouvoir exécutif d’importantes compétences qui relevaient jusqu’à présent des élus du suffrage universel au Parlement.
Présidente du Mouvement des entreprises de France (Medef), Mme Laurence Parisot est sans détour : « La liberté de penser s’arrête là où commence le Code du travail».
Elle commente :
« La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail ne le serait-il pas ? ».

C’est peu dire que Mme Parisot, quoiqu’elle s’en défende, a été entendue par les gouvernants qui viennent de « recodifier » le droit du travail .[…].Entre tous les textes de lois, le code du travail est particulièrement sensible puisqu’il exprime cent trente ans d’évolution des rapports de force sociaux. Il est fait de sueur, de larmes et de sang : chaque article, chaque alinéa, chaque décret, chaque arrêté résulte de combats et d’âpres négociations, d’accords minutieux ou de votes contestés au Parlement, il a souvent été rédigé à la virgule près.[…]Il représente un droit collectif et personnel pour 16 millions de salariés du privé et assimilés : il détermine leur vie quotidienne, même pour ceux qui l’ignorent. […] Un bras de fer permanent oppose patronat et salariat pour le faire respecter, pour le renforcer ou l’affaiblir. L’enjeu est d’autant plus important que le salariat s’est renforcé numériquement, passant de moins de 60 % de la population active en 1945 à plus de 90 % en 2005. »

Venez nombreux vous informer et débattre

Une leçon à tirer de Mai68

La véritable leçon à tirer de Mai 68, par Slavoj Zizek (philosophe)
LE MONDE 02.06.08 (et dans l'Huma une semaine auparavant !)

Ce besoin d'établir une organisation et un engagement politiques globaux capables de neutraliser et de canaliser les mécanismes du marché ne revient-il pas à adopter une perspective communiste ?
La référence aux "communs" justifie par conséquent la résurrection de la notion de communisme : elle nous permet de considérer la privatisation progressive des communs comme un processus de prolétarisation de ceux qui se trouvent ainsi exclus de leur propre substance.
Mais seule la contradiction entre inclus et exclus est véritablement à même de justifier le terme de communisme. A travers différentes sortes de bidonvilles, nous assistons dans le monde entier à la croissance rapide de populations échappant à tout contrôle étatique, vivant dans des conditions de semi-illégalité, et qui manquent de façon criante des formes minimales d'auto-organisation.
Bien que cette population soit composée de travailleurs marginalisés, de fonctionnaires licenciés et d'ex-paysans, ces derniers ne constituent pas pour autant un surplus inutile : ils sont intégrés par bien des aspects dans l'économie globale, puisque beaucoup d'entre eux travaillent comme salariés au noir ou entrepreneurs individuels, privés de toute espèce de couverture médicale ou sociale adéquate.
Il ne s'agit pas d'un accident malheureux, mais du résultat inévitable de la logique intime du capitalisme global. Un habitant des favelas de Rio de Janeiro ou d'un bidonville de Shanghaï n'est pas différent de l'individu qui vit dans une banlieue parisienne ou un ghetto de Chicago. La tâche essentielle du XXIe siècle sera de politiser - en les organisant et en les disciplinant - les "masses déstructurées" des bidonvilles.
Si nous ignorons ce problème des exclus, toutes les autres contradictions perdront de leur pertinence subversive. L'écologie se limitera à un problème de développement durable, la propriété intellectuelle à un problème juridique complexe, la biogénétique à une question éthique.
Bref, sans la contradiction entre inclus et exclus, nous pourrions fort bien nous retrouver dans un monde où Bill Gates bénéficierait de l'image d'un grand travailleur humanitaire luttant contre la pauvreté et les maladies, et Rupert Murdoch celle d'un champion de l'environnement capable de mobiliser des centaines de millions d'individus grâce à son empire médiatique.
Ce qui nous menace, c'est de nous voir réduits à des sujets cartésiens abstraits et vides, privés de tout contenu substantiel, dépossédés de notre substance symbolique, contraints de subir la manipulation de notre base génétique et de végéter dans un environnement invivable. Cette triple menace à l'égard de notre être tout entier fait de nous tous, d'une certaine façon, des prolétaires potentiels, et la seule façon de nous y opposer est d'agir de façon préventive.
La véritable utopie est de croire que le système global actuel peut se reproduire indéfiniment ; la seule façon d'être vraiment réaliste est d'envisager ce qui, au regard des critères de ce système, ne peut apparaître autrement qu'impossible.

Traduit de l'anglais par Gilles Berton.

lundi 2 juin 2008

Vèm canton de Lyon, fin, on continue

La Droite a gagné en définitive !

Il y a deux trous dans la roulette et il se trouve toujours des gens pour miser, miser encore !

Une pièce cela a deux faces !

Pile, c'est le représentant de la droite-Sarkozyste et coté face, c'est celui qui ne s'y oppose pas !C'est donc la Droite qui est arrivé en tête de ce second tour !!!

Quand "on" montre la Lune, combien sont-ils ceux malheureux qui regardes le doigt ?

Le plus important (dans cette élection), n'est-il pas les 6,30% obtenu par le PCF allié avec "les Alternatifs" ?

Le faite que se fesant, se matérialise les contours d'une force de Gauche indépendante des égarements du parti socialiste.

Que "l'électorat du parti Les Verts" s'évapore (sous la barre des 5% pour plus de 9% en 2004) !?Révélant, sa nature profondément "social-démocrate" pour le moins ou de Gauche "bon teint BObo" pour le pire !

Le FN, perd 8%, n'est-ce pas important ?

Remarquons que l'essentiel de l'électorat (les 3/4) avait choisie l'une ou l'autre des deux grandes écuries porté au pinacle par les médias, ces chiens de garde de la pennsée unique !

Alors oui, tout ça mérite commentaires et réflexions, tout ça, c'est de la matière et de l'espoir pour les militants.

Mais tout ça, nous le connaissons, depuis une semaine, qu'en à hier, ...

Je confesse avoir préféré une belle balade et quelques truites au jeux du cirque donné par César Collomb pour amuser "sa plèbe" !