Il y a tout de même quelque chose de gênant voir d’indélicat à entendre les remerciements de « nos » champions.
Je comprends les nécessaires « merci maman, merci papa, ma sœur, …» certes parfois avec un peu de chance nous avons, incongru, un petit « je remercie mon entraîneur », et puis, …et bien et puis plus rien !
Aucun remerciement à la république, à la France qui a fournit l’infrastructure, c'est-à-dire l’essentiel, n’est ce pas là, dans cet essentiel (donné par nous !)que se crée la pépinière de nos héros n'est-ce pas par là que nous (le public de la France lointaine) nous puisons notre fierté et pour laquelle on vibre, ou que l’on crie un « vive la France » ?!
Mais non, nous voyons des larmes, des embrassades des binettes d’or, submergées par un bonheur bronze-argent et …, rien d’autre.
Mais non, nous voyons des larmes, des embrassades des binettes d’or, submergées par un bonheur bronze-argent et …, rien d’autre.
Et puis quand on voit ces Federrer, Nadal, Julninio et autres millionnaires du « sport », on se demande ce que représentent pour eux ou même dans le fond les JO.
Et encore nous avons de la chance, cette fois, à Béijing pas de panneaux publicitaires à la gloire de nos sociétés de consommation, pas de Cocacolapepsi truc.
Et encore nous avons de la chance, cette fois, à Béijing pas de panneaux publicitaires à la gloire de nos sociétés de consommation, pas de Cocacolapepsi truc.
Tout de même, nous n’allons pas bouder. Alors, je suis content malgré tout des médailles des employés de la RATP, les frères Guéno en lutte Gréco-Romaine, là, on peut piquer quelque chose qui chatouille le ventre et oublier tout le reste.
Les JO, quelle mélasse
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