Les lundi 2 juillet, et 9 juillet, projection en plein air de comédies musicales egyptiennes (à partir de 22h) "Ne le dites à personne" de Henri Barakat (1951) et "La Sangsue" de Salah Abou Seif (1956). Deux films emblématiques de l'âge d'or du cinéma musical égyptien extrêmement populaire dans tout le monde arabe. Avec les acteurs Samia Gamal et Farid Al Atrache...
Successivement place Bahadourian (Lyon 3ème) le 2 juillet, puis square Bâtonnier Jacquier (Lyon 7ème) le 9 juillet.
Le réalisateur disparu en 1996 poursuit avec Naguib Mahfouz, romancier et Prix Nobel de Littérature disparu en 2006, une fructueuse collaboration à l’origine de sept films dont La sangsue et Le monstre (1954) présentés à Cannes. Salah Abu Saif a su porter à l’écran un œil lucide sur les contradictions politiques et sociales de la société égyptienne avant et après la révolution de 1952, en prenant toujours partie pour les classes défavorisées. Il met en scène avec aisance la vie du Caire populaire, ses ruelles, ses petits métiers, les trafics, le statut de la femme…
Le cinéma musical égyptien
Malgré leur beauté, les œuvres cinématographiques d’Egypte restent peu connues hors du monde arabe. La comédie musicale égyptienne réussit pourtant à inventer un style radicalement différent de Hollywood.
On commença à entendre parler d'acteurs, à la fois chanteurs et danseurs, avec des noms comme Farid Al-Atrache, Samia Jamal, Mohamed Fawzi, Tahia Karioka ou alors Oum Kalthoum et Abdel Wahab, les rois du chant arabe. Mais la véritable naissance de l'industrie cinématographique en Egypte est due à Talaat Harb, le célèbre homme d'affaires et banquier. L’Egypte est le seul pays du continent africain à avoir dès les années 30, une véritable industrie cinématographique.
Malgré leur beauté, les œuvres cinématographiques d’Egypte restent peu connues hors du monde arabe. La comédie musicale égyptienne réussit pourtant à inventer un style radicalement différent de Hollywood.
On commença à entendre parler d'acteurs, à la fois chanteurs et danseurs, avec des noms comme Farid Al-Atrache, Samia Jamal, Mohamed Fawzi, Tahia Karioka ou alors Oum Kalthoum et Abdel Wahab, les rois du chant arabe. Mais la véritable naissance de l'industrie cinématographique en Egypte est due à Talaat Harb, le célèbre homme d'affaires et banquier. L’Egypte est le seul pays du continent africain à avoir dès les années 30, une véritable industrie cinématographique.
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